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 IVAN&MARILYN- I hate fishes because the're always happy when im sad

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Marilyn Corbett-Weiss
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Marilyn Corbett-Weiss

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IVAN&MARILYN- I hate fishes because the're always happy when im sad _
MessageSujet: IVAN&MARILYN- I hate fishes because the're always happy when im sad   IVAN&MARILYN- I hate fishes because the're always happy when im sad Icon_minitimeLun 11 Oct - 5:41


LIFE IS COMPLICATED
ITS ALREADY ENOUGH
SO WHY DON'T WE TRY
TO MAKE THINGS SIMPLE
JUST FOR ONCE

Bip bip bip...Mais qu'est-ce que ce bruit?...Ça devait sûrement mon cellulaire. Effectivement, lorsque je m'asseillis sur mon lit, encore recouverte dans mes draps, prenant mon cellulaire qui se trouvait toujours à mes côtés durant la nuit, que je consultai par la suite." Treize heures et dix-huit minutes.... Oups! J'ai oublié que j'avais cours! Je vais avoir droit à un de ses savons de la part de Markus. J'ai jamais compris pourquoi il me passait des savons lorsque je séchais les cours parce qu'il se le permettait bien lui... Le salopard! Puis il a même pas été fichu de me réveiller ce matin...Il devait sûrement m'avoir entendu rentré à moitié ivre à deux heures du mat...En tout cas, moi je l'ai entendu hier soir , quand il se tapait...Natasha! Oui c'est ça. Elle s'appelait Natasha...Le prénom d'une vraie salope quoi!
C'est avec le sourire aux lèvres, me réjouissant intérieurement de ma dernière blague, que je titubais jusqu'à la salle de bains pour aller prendre une douche bien chaude pour me réveiller.Puis une demie-heure plus tard, je resortis de la toilette, vêtue d'un peignoir bleu nuit, mon préféré. C'était celui de ma mère. Je l'avais secrètement gardé dans une boîte contenant pleins d'autres chose lui ayant appartenu, jusqu'à la mort de mon père. Ce connard n'aurait jamais supporté de me voir porter ses choses...Pas après qu'il l'ai tué...
J'humais nostalgiquement le peignoir, sentant le parfum de rose et de jasmin, l'odeur de son lait corporel. Je fermais les yeux ,croyant pouvoir me rapprocher de ses souvenirs lointains, qui refaisait surface avec toutes les émotions qui les accompagnaient. Alors que les larmes me montaient aux yeux, je me retins pour ne pas fondre en larmes. Je soupirais longuement.
Je ne vais pas pleurer... Je ne vais pas pleurer..
Je me glissais lassement sur le banc du petit boudoir de style antique , ayant aussi appartenu à ma mère , dans sa jeunesse, que ma grande cousine avait ramené d'Allemagne et dont j'avais hérité.Je tirais mollement un mouchoir de sa boîte , qui se trouvait sur la petite table,avec lequel j'essuyais instinctivement mes larmes avant de le jeter négligamment dans la petite poubelle qui se trouvait à mes pieds. Je me coiffais et me maquillais ensuite, puis je me levais pour aller chercher de quoi m'habiller dans ma garde-robe.Pour aller où ? Je ne sais pas trop... J'avais juste envie de me promener en ville avec mon grand calepin et dessiner tout ce que je voyais et, peut-être une nouvelle création. C'était un vrai passe-temps pour moi,mais en même temps une façon d'évacuer mes émotions. J'étais plutôt douée pour le dessin.
Mon choix fait, j'enfilais un débardeur noir , une veste de la même couleur, j'aimais bien m'habiller en noir, des skinny jeans bleu foncés , quelques bijoux , un joli sac à main Prada noir et une jolie paire de Louboutins en suède noir que j'avais volé à Victorya. La petite bourge de merde...Elle ne partageait jamais rien avec moi.Heureusement que j'étais assez maligne pour lui piquer ses affaires sans qu'elle ne s'en rende compte.
Je ramassais ensuite mon kit de dessin, mon cellulaire,une paire de lunettes soleil fumés que je mis, une collation en passant par la cuisine, puis je quittais l'appartement. Je parcouru ensuite la rue, à la recherche d'un bel endroit que je pourrais dessiner. Puis j'arrivais devant l'aquarium. Je n'hésitais pas trop longtemps avant de pénetrer dans l'édifice. Le lieu était quasiment vide. Il n'y avait pas grand monde, sauf une classe de momes en visite. Je posais mon sac au sol,m'installais sur un banc, sur lequel je m'allongeais sur le ventre ,les jambes relevées, comme chez-moi finalement. Je pris ensuite ma planche à dessin et mon crayon et commençais à dessiner. L'inspiration ne me vint pas tout de suite,mais je finis par entammer quelque chose. Dommage, j'aurais du amener mon Ipod, j'aurais sûrement eu plus d'inspiration.
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Ivan Prgrev
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Ivan Prgrev

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MessageSujet: Re: IVAN&MARILYN- I hate fishes because the're always happy when im sad   IVAN&MARILYN- I hate fishes because the're always happy when im sad Icon_minitimeLun 11 Oct - 8:11


    Encore une fois, notre Ivan avait passé la soirée à dealer, pour ensuite se trouver une jolie jeune fille avec qui passer le reste de la soirée. Ils n’avaient pas dormi de la nuit, mais surtout dès l’aube, il était partit, laissant la jeune fille seule, sans aucun mot, ou un moyen de communication. C’était son procédé, couché avec une fille pour ensuite la laisser sans aucunes nouvelles. Il n’aimait pas avoir de contact avec ses conquêtes, il a peur qu’elle lui amène des problèmes. D’ailleurs, il ne leur dit jamais son vrai prénom, rien de concret à son sujet. Le mensonge fait partit de sa vie. Maintenant qui connait réellement Ivan ? Probablement personne. Il n’a plus aucune famille, plus aucuns vrais amis, pas de petite copine. Personne pour lui. C’est très bien ainsi, car il est tout simplement solitaire, il n’aime pas vraiment la compagnie, ou alors la compagnie d’une personne qui peut l’accepter comme il est, et c’est bien dure de trouver une personne capable de supporter un homme comme lui. C’est même impossible à trouver. Qui aime se faire insulter à tout bout de champs ? Aimez-vous être ami avec une personne qui ne montre aucun respect envers vous, mais surtout qui ne montre aucune sympathie à votre égard ? Et bien notre Ivan est tout à fait comme ça. Très compliqué, mais surtout étrange.

    Après avoir laissé en plan sa compagnie de la nuit, il était tout de suite rentré chez lui, et s’était posé sur son canapé, pour s’endormir comme un bébé. Il n’y avait que chez lui qu’il se sentait à peu près en sécurité et qu’il pouvait dormir paisiblement. Il était crevé de sa nuit, mais il était un temps soit peu heureux d’être toujours en vie. Tous les jours lorsqu’il se réveillait, il avait cette idée en tête que c’était la dernière journée qu’il peut vivre. Et bien oui, il a tellement d’ennemies, qu’il peut mourir n’importe quand mais surtout n’importe où. Il dormit jusqu’au début de l’après midi, et lorsqu’il se réveilla de son plein gré, il prit une douche. Restant dans la salle de bain pendant un long moment, avec l’eau coulant sur son corps, cette eau chaude qui lui brulerait presque la peau. C’était un de ses moments préférés dans sa vie, lorsqu’il se trouve dans sa douche. Il sortit de sa douche, pour se retrouver complètement nu, il aimait attendre que l’eau sèche toute seule sur son propre corps.

    En attendant qu’il soit complètement sec, il se chercha de quoi se mettre sur le dos, optant une fois de plus pour un jean et une chemise bleue océan, comme ses beaux yeux. Une fois qu’il fut habillé, et prêt à sortir, il chercha un endroit où il pouvait aller. Il n’avait pas envie de trainer dans la rue, pas aujourd’hui en tout les cas. Il avait envie d’aller dans un lieu particulier, où on ne va pas tout le temps. Juste de temps en temps. Il chercha alors sur le net des endroits à peu près intéressants, et c’est là qu’il tomba sur l’aquarium de la ville. Regardant l’adresse, il y alla tout de suite. Il avait trouvé ce qu’il lui fallait pour cette journée. Se balader dans un endroit où il pouvait voir des poissons. Ces êtes humains lui faisaient beaucoup à lui. Ils sont libres comme lui, mais surtout ils peuvent mourir d’un instant à l’autre, par des poissons beaucoup plus gros qu’eux, mais aussi par les hommes. C’est tout à fait lui, et il avait envie de voir comment ils vivaient. Non pas pour prendre exemple, il ne le peut pas de toute façon, mais il en a tout simplement envie.

    Il peut être antipathique, étrange, tout ce que vous voulez, pourtant il aime s’intéresser à pleins de choses. C’est un homme très ouvert pourtant, mais pas envers les autres Hommes. Une fois sur place, il commença sa visite, tout doucement, à sa vitesse. Il croisait énormément de petits, la plupart des personnes qui venaient ici, c’était pour accompagner leur enfants, ou alors c’était des sorties scolaires. Lorsqu’il voyait tous ces petits, ça le rendait nostalgique. Il pensait à lui quand il était petit, il ne s’était jamais imaginé devenir ainsi, et encore moins avoir une vie comme celle-ci, mais maintenant tout était joué, et il ne pouvait plus revenir en arrière. Alors qu’il avançait petit à petit, il vit une connaissance, assise, en train de dessiner. Tout d’abord, il fit comme s’il ne la connaissait pas, mais la voyant comme ça, il voulut tout de même aller la saluer, et peut-être passer un petit moment. Disons qu’il apprécie Marilyn, mais il n’arrive pas à le lui montrer, de ce fait, il est avec elle comme avec toutes les autres. Insupportable, et pourtant ils se ressemblent pas mal, c’est ce qui construit leur relation amicale.

    I V A N
    - Salut conn*sse. Comment tu vas aujourd’hui ?

    Il s’assit à côté d’elle, et regarda, sans demander la permission, son dessin. La moindre des politesses est tout de même de demander la permission avant, mais pas pour lui. Notre homme fait tout comme il le sent et le veut. Il s’en foutait pas mal de si elle était d’accord ou non, lui avait eut envie de voir ce qu’elle pouvait bien dessiner, alors il ne s’en gêna point.
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Marilyn Corbett-Weiss
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MessageSujet: Re: IVAN&MARILYN- I hate fishes because the're always happy when im sad   IVAN&MARILYN- I hate fishes because the're always happy when im sad Icon_minitimeLun 11 Oct - 10:25

Je possédais depuis toujours une personnalité double. À certains moments, je pouvais être sociable,énergique, accueillante et aimable, mais à d'autres, j'étais une vraie plaie, renfermée, voire ermite, amorphe, paresseuse, distante et d'une froideur quasiment glaciale. À ses moments de ma vie, tout m'était intolérable. Les gens, les bruits, les odeurs, la vie; D'ailleurs , cette petite bande de pie qui faisaient tout un boucant tout en s'agitant autour de moi commençait vraiment à m'agacer.

"Il y a pas moyens d'avoir la paix " criai-je à leur intention, avec un regard dur. Tous accélérèrent le pas , effrayés, fuyant ma présence.Il ya même une filette qui s'était mise à brailler.L'enseignante qui les accompagnait ne tarda pas à me fusillier du regard. Je répondis à son regard avec un mouvement d'épaules insouciant voulant clairement dire "so what ?" Évidemment ,je finis par me sentir mal pour ces bouts de chou. Je ne suis pas si sans-coeur après tout... Au contraire, je me mettais à leurs places, surtout celle qui s'était mise à pleurer. Elle devait avoir six ou sept ans tout au plus. Elle était tout à mon image. Frêle, avec un visage innoncent, si angélique... Je ressemblais à ça , il y a très très longtemps de cela...Toutefois,les exprériences de la vie m'ont changé, pour le pire...

Il était normale pour moi de changer d'un moment à l'autre d'humeur. J'étais comme ça moi et, ce n'est pas demain la veille que je changerais, quoique les gens puissent en dire. Qu'il aille se faire foutre au pire! Il y en avait même certains qui me qualifiaient de bipolaire. What the f**k? À ce que je sache, ma santé mentale , ça ne les regarde pas, puis je vais très bien de ce côté-là . Merci bande de cons!
Oh mais en parlant de connard, en voilà un qui passait par là !C'est en relevant la tête de mon dessin afin de prendre ma gomme à effacer que je le vis .Ivan.
Oh le salaud, il essaye de m'éviter. Quoique non...Il vient dans ma direction.
J'attendis qu'il soit assis à mes côtés pour me relever,prenant mon dessin.
Oh si c'est pas mon fils de pute préféré. Moi je vais bien et...
Je remarquais qu'il observait mon dessin, sans ma permission. Je le repoussais violemment.
Non mais je t'ai déjà dit d'arrêter de regarder mes dessins imbécile !Espèce de mal élevé! C'est privé ses affaires-là...
Je ramenais ma planche à dessin contre ma poitrine d'un geste protecteur, lui lançant un regard mauvais. J'étais vraiment remontée. Ça se faisait juste pas. Mes dessins, c'était mon jardim secret, comme un journal intime auquel je me confiais. Alors , je n'accpetais pas que n'importe qui y jette un coup d'oeil, surtout sans ma permission.
Puis qu'est-ce que tu fais-là? T'as pas d'autres choses à faire, genre une pouffiasse à b**ser et ou de la coke à vendre?
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Ivan Prgrev
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MessageSujet: Re: IVAN&MARILYN- I hate fishes because the're always happy when im sad   IVAN&MARILYN- I hate fishes because the're always happy when im sad Icon_minitimeMer 13 Oct - 10:23

En venant ici, il ne s’attendait pas à rencontrer une personne qu’il se pouvait de connaitre, et c’est aussi la raison de pourquoi il s’était rendu ici. Il n’avait pas vraiment envie de voir quelqu’un et de lui parler, pour avoir juste après une conversation. Il avait envie d’être tranquille, il avait besoin de tranquillité. Ses journées sont éprouvantes, fatigantes, épuisantes, etc. Ce n’est pas non plus le genre d’endroits qu’il fréquente le plus souvent, mais il aime bien s’y rendre de temps en temps, ce qui veut dire en moyenne : une fois tous les deux mois. De telle sorte qu’il se change un peu les idées, avant de reprendre ses activités principales et s’y mettre à fond, pour ne pas se faire prendre, et rester en quelque sorte vivant. Ça ne le dérangeait pas de savoir qu’il frôle tous les jours la mort, mais ce n’est pas pour autant qu’il souhaite mourir. Il provoque les gens, il joue avec la police, il se fait chercher, et pourtant, il veut rester en vie le plus longtemps possible. Pourquoi ? Parce que ce jeu lui plait trop pour s’en arrêter qu’à là. Il a envie d’aller beaucoup plus loin que ce qu’il n’a pu déjà faire jusqu’ici.

Tout ça pour dire, qu’il venait de voir une « amie » ou plutôt connaissance. Il ne s’attendait pas à la voir, elle, ici. Mais ce qui ne l’étonna pas, c’est de la voir dessiner. Il s’assit à côté d’elle, mais elle se releva, avec son dessin bien sur. Donc pour l’énerver un peu, il se releva aussi, se mettant à ses côtés, rien que pour son simple plaisir à elle. Juste avant cela, il l’avait salué à sa manière, en l’insultant. Si un jour il prenait à Ivan de ne plus insulter les autres, c’est que quelque chose ne va pas bien dans sa tête, ou tout simplement dans sa vie. C’en est devenu une habitude, et un trait de son caractère, sans cela, ce n’est plus Ivan Prgrev ou peu importe qui il est vraiment. Il l’insultait, mais elle ne se laissait pas faire, loin de là. Elle lui répondait de la même façon, c’est ce qu’il aimait. Une fille qui ne se laisse pas marcher dessus, qui a son propre caractère et qui est forte, qui sait montrer qui elle est vraiment, et qu’elle-même peut commander les autres. Il l’en apprécierait même.

M A R I L Y N
- Oh si c'est pas mon fils de pute préféré. Moi je vais bien et...

Cette réponse le fit sourire, il n’avait pas l’habitude qu’on lui réponde de cette façon. Cela faisait pas mal de temps qu’il ne l’avait pas vu. On va dire aussi qu’ils ne se donnent pas rendez vous, lorsqu’ils se voient, c’est par pur hasard, et les deux devront avouer qu’ils aiment voir l’autre, même s’ils ne se le montrent pas, comme deux êtres humains devraient normalement le faire. Avec un grand sourire, il lui répondit tout tranquillement, sans aucune colère dans les paroles qu’il prononçait.

I V A N
- Je crois bien que tu te trompes de personnes, ma mère n’est pas une pute comme la tienne.

Il lui fit un petit clin d’œil. Le jeu était lancé, car oui entre eux, on peut carrément appeler ça un jeu : « à qui dira le mieux ». Qui aura le dernier mot ? Généralement aucun des deux, ils arrivent toujours à s’arrêter pour ne mettre aucun des deux comme plus faible, sinon le jeu ne serait plus du tout le même. Il en profita alors, pour regarder ce qu’avait pu faire Marilyn, bien sur sans sa permission, comme il avait l’habitude de faire, et elle le remarqua avant qu’elle ne puisse lui demander si lui aussi allait bien. Il rigola à ce qu’elle put lui dire, tout le faisait rire dans la vie.

M A R I L Y N - Non mais je t'ai déjà dit d'arrêter de regarder mes dessins, imbécile ! Espèce de mal élevé! C'est privé ces affaires-là...

Il soupira, croyait-elle vraiment qu’il l’écouterait un de ces jours ? Il ne reçoit plus aucun ordre d’autrui, et surtout pas d’une femme. Oui, il lui arrivait de faire du sexisme, et d’ailleurs ça l’amusait de faire ça, de prendre les femmes pour un être inférieur aux hommes. Il le faisait comprendre, mais en même temps c’est ce qu’il pouvait tout à fait penser à propos d’elles. Imbécile, imbécile, ce mot le fit vraiment plus que rire. C’était tellement gentil d’entendre ça, il prenait ça comme un compliment. Il ne faisait que de rire, et ne put s’arrêter, ce qui commença un peu à agacer la jeune fille, mais il s’en fichait pas mal de ce que pouvait ressentir son « amie ». Il la regarda, et la prit dans ses bras pour lui faire un gros câlin. Il n’avait pas vraiment envie d’avoir un contact physique avec elle, mais c’était tout simplement pour la mettre en rogne.

I V A N - J’avais presque oublié comment tu étais une fille marrante Marilyn, il faut qu’on se voit plus souvent, tu me rends joyeux ma belle.

Les compliments ne sont présents que pour draguer. Il n’avait pas envie de draguer la jeune femme, mais il avait cette habitude aussi de rajouter le mot « belle » de temps en temps après ses phrases. Généralement, les femmes aiment entendre ça pour elle, de se savoir belle pour un homme, quelque unes aussi ça les fait tomber tout de suite sous le charme, heureusement que ce n’est pas le cas pour la miss, sinon Ivan serait mal barré. Non pas qu’il ne veuille pas d’elle dans son lit, au contraire, mais il n’avait pas non plus envie de ne plus la voir, et perdre contact, ce qu’il a généralement l’habitude de faire avec ses conquêtes nocturnes.

M A R I L Y N - Puis qu'est-ce que tu fais-là? T'as pas d'autres choses à faire, genre une pouffiasse à b**ser et ou de la coke à vendre?

I V A N - Comme tu peux le voir, et bien non. Disons que je comptais tout faire avec toi, te b**ser comme un fou, mais juste avant je t’aurais obligé à m’acheter quelques petits trucs que tu aurais tout de suite sniffé après. Un jour tu devrais essayer d’ailleurs, tu kifferais, surtout si je suis l’homme qui est à tes côtés.

Il la cherchait violemment, et d’ailleurs il s’en amusait vraiment. Il savait provoquer, mais aussi il attendait avec impatience ce qu’elle allait pouvoir lui répondre. Cette fille avait de la répartie, et il aimait toujours ce qu’elle avait à lui répondre, même si c’était contre lui, au contraire, il aimait encore plus. Elle n’avait pas peur de lui, et pourtant elle pouvait être effrayée de se retrouver en face de lui, surtout après ce qu’elle lui dit, mais elle ne l’était pas. Et ça le fascinait. Il était fasciné par cette fille.
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MessageSujet: Re: IVAN&MARILYN- I hate fishes because the're always happy when im sad   IVAN&MARILYN- I hate fishes because the're always happy when im sad Icon_minitimeMer 3 Nov - 1:56

J'aimais bien venir à l'aquarium, quelques fois par mois. Pour moi , c'était un refuge, surtout , car ça me rappelait Caloundra, ma ville natale. En même temps, j'avais toujours éprouvé une fascination pour les animaux marins, en particulier les requins. Cependant, il n'y en avait pas nul part à l'aquarium. Juste des poissons... Mais ils me fascinaient aussi , par leur couleur,leur forme et leur façon d'agir. En les regardant, je me disais qu'ils n'étaient pas si différents de nous les humains. Il y avait une mini-société, une hiérarchie, leurs principes et leurs règles. Ce qui par contre les différenciait de notre monde était la simplicité de leur monde. Tout était facile. Ils vivaient , mangeaient, se reproduisaient et creuvaient. That's it , that's out! Rien de compliqué comme un meutre familial, un viol ou un séjour en prison.... Ça n'avait rien à voir... Les voir, ça m'inspirait wet, parfois , je m'imaginait intégrer leur monde. Je serais sûrement un poisson lune, quoique qu'être une sirène aurait été plus amusant. D'ailleurs, de tous les personnages de Disney, Ariel avait toujours été ma préférée, même s'il fallait avouer que j'aimais aussi Blanche-Neige pour le côté dramatique de sa vie...Bon je vous le disais, j'ai de l'inspiration!Sinon, à part l'inspiration qui me venait en dessinant , j'en avais aussi beaucoup en général, ce qui me facilitait pas mal la tâche, lorsqu'un connard comme Ivan me lançait une vanne. J'avais de la vervre et en écrivant, les mots me venaient aussi facilement qu'en paroles.Il m'inspirait d'ailleurs là maintenant.
Évidememnt, lorsque je l'avais insulté, c'était pour plaisanter.Il le savait d'ailleurs. Entre nous deux , cela avait toujours été ainsi. C'était en même temps un genre de compétition auquel ils prenaient part, le but étant de voir jusqu'où ils pourraient se rendre. Qui des deux finiraient par clouer le bec de l'autre quoi! Heureusement, nous ne nous voiyons pas souvent, juste une fois de temps en temps,sinon le jeu en serait devenu lassant. J'aurais pu être offusquée du fait qu'il ose parler de ma maman chérie ainsi, mais je ne le fut point. Ce n'était qu'un jeu après tout. Il n'y avait pas de quoi en faire un drame.
Pas sûre ... Je crois bien avoir vu la tienne sur un coin de rue ,hier soir en train de se vendre...La mienne ,elle, repose bien en paix au ciel... fit-jeavec un sourire malicieux. Je savais maintenant que le jeu était lancé, par le clin d'oeil qu'il lui fit. Aujourd'hui encore comme à chaque fois,j'avais en tête l'idée de gagner,mais je n'avais jamais réussi bordel. On était toujours resté execo.Toutefois, je souhaitais bien remporter cette victoire,pour une fois...Aussi , je m'attendais à ce qu'un jour , cet andouille cesse d'espionner mes dessins , sans que je ne lui permette de les admirer. Ça me faisait vraimenr chier qu'il fasse cela, mais on aurait que pour lui, ça l'amusait. D'ailleurs, il n'arrêta pas de rire, ne pouvant plus s'arrêter, ce qui ne m'amusa pas du tout moi. J'avais juste une envie, c'était de lui mettre mon poing dans la face.Il se foutait pas mal de ma gueule le connard, tellement qu'il me prit ensuite dans ses bras poour me faire un gros câlin. Oh le salaud! Puis comme si ce n'était pas assez ,il en rajouta encore plus en tentant de la draguer.
Tu sais qu'est-ce qu'il y a de marrant aussi Ivan? Ton père ...hier soir... dans mon lit! L'idiot s'est perdu en chemin , en tentant de se rendre jusqu'au lit de ta mère, alors il a finit dans le mien... fit-elle en avant d'éclater de rire. J'adorais lancer ce genre d'insultes. C'était si drôle, sauf que moi je l'aurais pas vraiment trouvé amusante, si on aurait encore parlé de ma mère. Sinon pour mon père, il n'y a pas de problèmes. Insultez-le autant que vous voulez cet enculé!
Humm...Vraiment? T'es déjà une plaie quand on se voit de temps en temps, alors imagine si je te voyais encore plus...Je finirais par me jeter dans un puis sans sceau ni corde...Ma belle tu dis? Ne me sert pas les mêmes conneries que tu sers à ces connasses pour qu'elle finisse dans ton lit.. fit-elle d'un ton exaspéré en roulant les yeux. Ça me décourageait tellement quand il faisait ce genre de numéro. Comme s'il croyait que moi, Marilyn allais tomber dans le piège.Mais au fond, je savais que ce n'étais pas pour de vrai, qu'il n'essayait pas de m'apâter comme un poisson. On était amis puis basta! Jamais je n'avais songé à plus. Puis il en faudrait plus pour m'impressionner. C'est pas juste en disant "Oh c'est beau tes cheveux quand tu les frises" que quelqu'un me séduira. Je connaissais mes capacités et avait conscience de ma beauté. Et en même temps, s'il me voulait vraiment dans son lit, il m'aurait déjà eu.
Hein ? Oh mais là il abuse celui là! MOI, coucher avec lui? Même pas en peinture.J'avais ma réputation à garder et une estime.Puis en même temps, jamais je ne lui aurait acheter ses déchets. Beurk, de la drogue! Jamais je ne tomberais dans cette merde. Je préfére largement l'alcool!


u.c
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IVAN&MARILYN- I hate fishes because the're always happy when im sad _
MessageSujet: Re: IVAN&MARILYN- I hate fishes because the're always happy when im sad   IVAN&MARILYN- I hate fishes because the're always happy when im sad Icon_minitime

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